Demeure de la famille de Valten
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Demeure de la famille de Valten


 
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 Livre sur les pratiques de combats

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Linoa
Dame de Tyx, chef de la famille
Linoa


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MessageSujet: Livre sur les pratiques de combats   Livre sur les pratiques de combats EmptySam 16 Jan - 2:43

Avant d'entamer la pratique quelques notions a savoir

Un combat régulier (entrainement, joute, duel) commence et finit par un salut. Vous finirez également les cours à l'épée en saluant vos instructeurs ainsi également.

Tenez vous bien droits, présentez le profil droit à lé personne saluée, pieds talon contre talon, le pied droit (pour les droitiers, gauche si vous êtes gaucher)dirigé vers l'avant, l'autre à l'équerre dirigé vers la gauche (droite si gaucher). Regardez la personne à saluer droit dans les yeux, tête haute. Mettez la main gauche (droite pour un gaucher) sur votre hanche gauche (droite), levez votre épée de la main droite (gauche) bras tendu de façon à désigner le ciel (pas tout à fait verticale mais légèrement inclinée vers l'avant, de 20° environ). C'est le premier temps du salut.

Ramenez d'un geste vif l'épée poing droit (gauche) presque contre le visage, paume vers la bouche, à hauteur de la bouche et du nez, de façon que vous avez la garde et le plat de la lame présentés à l'adversaire, l'épée tout-à-fait verticale. C'est le deuxième temps du salut.

Faites décrire à la lame d'un geste semi-circulaire un mouvement pour l'amener pointée vers le sol et vers la droite (gauche) bras tendu, pointée à environ 1 mètre de vos pieds. C'est le troisième et dernier temps du salut. Marquez quelques secondes la position. Elle est normalement suivie par la position de garde.

On appelle 'estoc' la pointe de l'épée. Un coup d'estoc permet d'embrocher l'ennemi.
On appelle 'fer' le tranchant de l'épée.
Un coup porté avec le fer, ou « taille », permet par exemple de couper la tête d'un ennemi.
A l'escrime, le fleuret et l'épée sont des armes d'estoc, mais le sabre est une arme d'estoc et de fer, ce qui signifie que l'on peut toucher l'adversaire par la pointe, mais aussi avec le tranchant de la lame. On appelle poignée la partie qui sert à tenir l'épée,
pommeau la 'boule' qui termine la poignée à l'opposé
de la lame, et 'garde' les deux branches métaliques
perpendiculaires à la lame et qui séparent la lame de
la poignée. Elle protègent la main de l'escrimeur.

En position de garde, tenir la poignée d'une main ferme en pinçant bien la poignée sous la garde entre le pouce et l'index de votre main droite si vous êtes droitier, gauche sinon. Replié les autres doigts sur la poignée. Si vous ne portez pas de bouclier, il est possible pour gagner en force de venir empoigner le pommeau dans le creux de votre deuxième main. En combat, il est possible de faire glisser d'un mouvement de bras la poignée de l'épée dans votre main droite (gauche si gaucher) de façon à la tenir par le pommeau. Vous perdez en force, mais gagnez en allonge, ce qui peut parfois être salutaire.

Prenons l'exemple du droitier, les gauchers travailleront en inversant la position. Positionnez vos deux pieds perpendiculairement l'un à l'autre, talon contre talon, le droit vers l'avant, le gauche vers la gauche, comme pour le salut. Avancez ensuite le pied droit de la longueur d'environ 1,5 pied vers l'avant. Fléchissez sur les genoux, bien souple. Buste droit. Levez la main gauche derrière vous en balancier et levée la main armée de sorte que le bras, légèrement décollé du corps, soit plié pour que l'avant bras soit horizontal. Diriger l'estoc de votre épée à hauteur de la tête de votre adversaire. Il s'agit de la position de garde d'entraînement. En combat, puisque nous ne pratiquerons pas une escrime en ligne mais utiliserons tout l'espace disponible, elle pourra se modifier légèrement, mais c'est la base à connaître. Lorsque l'on utilise à la fois l'estoc et le fer, le buste doit être un peu plus tourné vers l'adversaire que lors d'estoc seul.


Tout d’abord, les deux positions hautes :

voici la quinte :

Livre sur les pratiques de combats Quinte5hi

On
y arrive depuis la position de garde en décrivant une portion de cercle
du bras droit (les gauchers, je vais parler en droitier, réalisez de
même en inversant droite/gauche) pour amener votre main à la verticale
de la position de garde, coude légèrement fléchi, pointe dirigée vers
le cou de l’adversaire. Votre main est en pronation, c'est-à-dire que
vous la tournez face dorsale vers le haut (paume vers le sol). Votre
main se trouve désormais légèrement plus haut que votre tête. Ne levez
pas l’épaule ! Elle reste en place. Ce n’est pas facile mais si vous
levez votre épaule vous serez peu efficaces et surtout vous aurez
d’immenses douleurs à l’épaules dans quelques minutes, alors imaginez
en combat avec un adversaire dont les coups résonnent dans tout votre
bras !

Cette position peut parer une attaque directe (coup
droit) par exemple en déviant la lame de l’adversaire vers le haut.
Elle peut se suivre d’une riposte liée (nous verrons dans un tout
prochain cours les mouvements de lames, parades et ripostes. Soyez
patients, l’escrime est un art difficile 😉 )

Voici ensuite la sixte :

Livre sur les pratiques de combats Sixte0cw

Le plus simple pour la comprendre est de partir de la quinte. En quinte Soldats !
Regardez.
Je suis en quinte. Pour parvenir à la sixte, Je casse mon poignet droit
et déplace ma main sur une ligne horizontale pour l’amener à ma gauche.
L’estoc de ma lame est toujours dirigé au même endroit vous verrez.

Cette position peut servir à dégager le fer de l’adversaire vers le haut et la gauche avant d’allonger le bras pour attaquer.
Elle peut servir en riposte pour écarter un coup droit de l’adversaire avant
de riposter en maintenant le fer ennemi à distance. Là encore vous
verrez au prochain cours d’épée où Lumjere et moi simulerons certaines
attaques, parades et ripostes.

Positions intermédiaires. Deux là encore.

Voici la Tièrce :

Livre sur les pratiques de combats Tierce3nw

En garde !

position de tièrce est la base qui permet de rejoindre chacune des
autres positions : elle est en ligne intermédiaire et poignet non cassé
donc ligne droite.
Un allongement simple du bras (Attention à ne pas
lever l’épaule !) pour initier une attaque directe sur l’adversaire
peut être fait en tièrce. C’est un coup droit.
En ‘capturant’ la
lame de l’adversaire pour la dévier vers la droite : on effectue une
parade de tièrce. On reverra tout ça mais je veux que vous compreniez
que chaque position est importante.

Voici ensuite la Quarte :

Livre sur les pratiques de combats Quarte9lp

En garde ! Cassez le poignet et déplacez votre main vers la gauche. Votre
estoc reste orienté vers le buste de l’adversaire et ne bouge pas par
rapport à la garde de tièrce.
Là encore, on s’en sert pour écarter vers la gauche le fer de l’adversaire et pouvoir attaquer ou riposter.

Enfin, voici les deux attaques en ligne basse :

D’abord la Seconde :

Livre sur les pratiques de combats Seconde7jt

En garde ! Ouvrez légèrement le coude vers le bas pour que votre estoc se
dirige vers le genou droit de l’adversaire (si celui-ci est droitier,
le gauche sinon). Vous y êtes.

Cette position permet de dévier une lame adverse vers le bas et la droite ou d’effectuer une attaque
visant à blesser l’adversaire à la jambe pour l’entraver dans ses
mouvements, voire le rendre immobile.

Enfin la Prime :

Livre sur les pratiques de combats Prime2vc

Elle est plus facile à atteindre depuis la Seconde. En garde ! Seconde !
Cassez votre poignet et déplacez votre main vers la gauche. Restez l’estoc sur le genou de l’adversaire.

Elle sert à dévier une lame vers le bas et la gauche et à attaquer ou
feinter vers le genou, voire parfois le pied si on la pousse en
pronation très accentuée (paume vers le haut voire presque vers la
gauche).

Remarquez donc que tout ce passe comme s’il y avait
deux lignes verticales : gauche et droite, et trois ligne horizontales
: haute, intermédiaire et basse, et que ces positions sont toutes
situées aux 6 points d’intersections de ces lignes.


Voici le coup droit. C'est l'attaque la plus
simple. C’est une attaque simple portée directement de la ligne dans
laquelle on se trouve. Synonyme: attaque directe. En garde ! Que l'on
soit en tièrce, quarte, seconde... Il s'agit de l'allongement du bras
dans un but offensif, tout en restant dans la ligne de tièrce, de
quarte, de seconde...

Le bras est allongé sans lever l'épaule.
En général elle s'accompagne en même temps d'une opposition de fer :
main en suppination (paume vers le ciel) permettant de dévier la lame
de l'adversaire vers la droite (je parle toujours pour un droitier)
pour se mettre hors de danger, poignet verrouillé et poussant la lame
ennemie vers la droite. Ca c'est si on est en position droite (quinte,
tièrce, seconde). En ligne gauche (sixte, quarte, prime) on amène la
main en pronation (paume vers le sol) et on oppose le fer à gauche.

Je profite de faire cette explication pour attirer votre attention sur un
détail : vous avez plus de force sur le tiers proximal de la lame (en
sortie de garde) que sur le tiers distal (en pointe) car c'est plus
prêt de votre main. les oppositions sont faites avec le tiers proximal
de votre lame contre le tiers distal de celle de l'adversaire. Ainsi
quelle que soit sa force, vous parvenez à écarter sa lame.

Le dégagé : c’est une action offensive simple qui consiste à quitter la
ligne dans laquelle on se trouve pour tirer dans une autre. Le
dégagement s’effectue en contournant lame adverse en passant du côté de
la garde. A partir de la ligne haute, le dégagement se fait par-dessous
la lame adverse; à partir de la ligne basse, par-dessus.

En clair, mettons que vous êtes en garde tièrce. Inclinez votre poignet de
sorte que la pointe de votre épée se dirige vers le bas, contourne
l'épée adverse par le bas et vienne se figer en position de quarte.
Vous passez de ligne droite à ligne gauche par ce geste. Cela permet de
surprendre l'adversaire, de se dégager d'une opposition de lame... En
prime et seconde vous passez dessus.

Le coupé : c'est une action offensive simple, portée en partant de l’engagement qui consiste à quitter la ligne dans laquelle on se trouve pour tirer dans une autre.
Elle s'exécute soit en glissant sur la lame adverse, jusqu'à la pointe,
par un mouvement rétrograde (ancien coupé "à la mouche"), soit sans
glisser la pointe adverse sur la lame. Le coupé s’effectue en
contournant lame adverse en passant du côté de la pointe. De ligne
basse à ligne basse, il s'exécute en passant par-dessous. De ligne
haute à ligne haute.

En clair c'est comme le dégagé mais en passant par dessus (sauf en prime ou seconde ou vous passez dessous).
Le coupé à la mouche consiste à lever l'épée en gardant le contact avec
le fer adverse pour le longer sur le côté, contourner la pointe
('mouche' des fleurets d'entraînements)et relonger l'autre côté pour
atteindre la position souhaitée.
Le coupé classique lui garde l'épée dans sa position de départ et par un mouvement de poignet fait juste passer la lame par dessus la lame adverse.

Le Une-deux. Il
s'agit de deux dégagements successifs enchaînés rapidement pour feinter
l'adversaire. Le premier dégagement feinte par exemple une attaque en
quarte. L'adversaire oppose en tierce mais vous dérobez votre fer du
deuxième dégagment et attaquez par coup droit en tièrce.

Voilà pour les attaques d'estoc. Vous aurez ultérieurement les attques de lame.

Le brisé : c’est une attaque qui frappe votre
adversaire de haut en bas. C'est le coup le plus usité car il permet
d’utiliser le poids de l’arme pour gagner en force d’impact. Les cibles
sont les épaules, les bras ou la tête.

* Le brisé intérieur est
une attaque dont le coup est armé en passant devant la poitrine, les
cibles sont en général la tête et la partie droite de l’adversaire. Les
parades utilisées sont généralement la tierce haute (ou quinte) et la
croix haute si on dispose d'une 2e arme (dague ou seconde épée). Pour
l'effectuer, partez de la position de garde, mevez votre arme dans le
prolongement du bras de façon à amener votre main droite à hauteur de
l'épaule gauche, et abattez violemment l'arme d'un coup de tranchant
sur le cotè droit de l'adversaire (c'est à votre gauche si vous suivez)
ou sur sa tête.


* Le brisé extérieur, quant à lui, est une
attaque dont le coup est armé en passant dans le dos, les cibles sont
en général la tête et la partie gauche de l’adversaire. Les parades
utilisées sont généralement la quarte haute (ou sixte) et la croix
haute. Partez de la position de garde, levez la main tenant l'arme vers
le haut en restant en ligne sur la verticale droite de votre corps de
sorte que votre main droite soit au dessus de votre épaule droite, puis
abattez sur le côté gauche (à votre droite) ou sur la tête de votre
adversaire.

Voici les zones visées par le brisé :

Livre sur les pratiques de combats A1ni4

L’enlevé : c’est une attaque qui frappe votre adversaire de bas en haut. Les cibles sont les jambes ou le buste.

* L’enlevé intérieur est une attaque dont le coup est armé en passant
devant la poitrine, les cibles sont sur la droite de l’adversaire. Les
parades utilisées sont généralement la seconde et la croix basse. Il
vous faut alors, de la position de garde, amener votre main droite à
hauteur de votre hanche gauche et abattre votre arme sue le côté droit
de l'adversaire en venant du bas vers le haut.

* L’enlevé
extérieur est une attaque dont le coup est armé en passant dans le dos,
les cibles sont sur la gauche de l’adversaire. c’est l’un des coups le
plus difficiles à exécuter. Les parades utilisées sont généralement la
prime et la croix basse. Difficile. Monter la pointe de l'épée vers le
haut et l'arrière pour donner de l'élan et prolonger pour boucler le
moulinet autour de vous en frappant après avoir contourné votre dos du
bas vers le haut.

Voici les zones frappées par l'enlevé :

Livre sur les pratiques de combats A2lr7

Passons maintenant aux coups horizontaux :

Le revers est une attaque qui frappe votre adversaire sur son côté droit.
Les cibles sont le flanc ou les jambes (en général la jambe droite).
Comme
pour les coups verticaux, il y a deux façon d’armer un revers. On peut
armer le coup en effectuant un grand cercle au dessus de sa tête avant
de porter le coup (un moulinet), ou on peut simplement armer le coup
comme un revers au tennis, en ramenant sa main droite sur l’épaule
gauche avant de frapper. Les parades utilisées sont généralement la
tierce et la seconde. La frappe s'effectue de votre gauche vers votre
droite (comme d'habitude je parle en droitier. Inversez si vous êtes
gaucher).

Le couronné, inversement, est une attaque qui frappe
votre adversaire sur son côté gauche. Les cibles sont la banderole (le
buste côté gauche) ou les jambes (souvent la gauche). Les parades
utilisées sont généralement la quarte et la prime. Pour réaliser le
couronné, armez en éloignant votre main droite de votre buste vers la
droite, et frappez fort vers la gauche comme pour couper l'adversaire à
hauteur de poitrine de votre droite à votre gauche.

Voici les zones frappées : côté gauche de l'adversaire (à droite... vous dormez
?) par le couronné, à sa droite (bien... à gauche) pour le revers :

Livre sur les pratiques de combats A3ao3

La plus simple : l'engagement.

Il s'agit de la prise de contact entre les lames. J'engage le fer, c'est-à-dire
que de ma position de garde je viens appliquer le tiers distal (le
tiers le plus loin de la garde) de ma lame contre le tiers distal de la
lame de l'adversaire. Cette action a pour but : de faire réagir
l'adversaire, et de sentir directement sa lame par l'intermédiaire de
mon épée de sorte que s'il se dérobe (dégagement ou coupé, voire cours
n°5) je le sente par arrêt de la contre pression qu'il exerce sur ma
lame et puisse instantanément réagir en allongeant le bras pour lancer
l'attaque durant sa manoeuvre.

Vient ensuite le battement de fer.
C'est
la même chose sauf qu'au lieu de venir rester au contact, on donne un
petit coup sec du tiers distal de notre lame sur la sienne. Ca surprend
l'adversaire et le fait dévier légèrement de la position de garde,
provoquant une ouverture de ligne dans laquelle on peut s'engouffrer.

Troisième temps : l'opposition :

l'opposition est la prise de contact entre le tiers proximal de ma lame et le tiers
distal de la lame de l'adversaire lors d'une action offensive où l'on
brise la distance entre soi et l'adversaire. Exemple : nous sommes en
garde. J'allonge mon bras et viens repousser la pointe de sa lame avec
le tiers proche de la garde de mon épée. J'ai ainsi plus de force que
mon adversaire et peux dévier sa lame vers l'extérieur (sa gauche)
pendant qu'en avançant je me mets à plus faible distance pour
l'embrocher. Une fois sa lame écartée et la distance brisée, il ne peut
revenir, encombré par la longueur de sa lame.
L'opposition sert donc à mener une attaque d'estoc en écartant le danger lié à l'estoc de
l'adversaire. La parade est le dégagement ou le coupé.

Quatrième temps : le lier :

Ca commence comme l'enngagement, mais on force légèrement sur la lame
adverse de sorte que notre estoc en avançant vienne contourner la garde
de l'adversaire par notre droite pour passer dessous et remonter en
position menaçante à l'intérieur. Pendant cette action, le contact
entre les lames glisse de tiers distal/tiers distal à tiers proximal
(pour nous)/tiers distal (comme en opposition) ce qui nous donne une
force supérieure.
Si vous visualisé en fait c'est un contact de fer
qui est mis à notre avantage en enroulant l'estoc de notre arme autour
de la garde de l'adversaire.
Deux issues possible essentiellement :
attaque une fois notre estoc à la droite (pour nous ou gauche du point
de vue de l'adversaire) de la garde adverse par allongement du bras en
profitant de l'opposition créée par le contact des lames sur le tiers
proximal de notre épée : l'estoc adverse est repoussé à l'extérieur.
Ou alors on poursuit l'enroulement en opposant fortement d'un coup sec et
poursuivant l'enroulement : ça conduit au désarmement de l'adversaire
car augmente notre force sur sa lame. C'est le désarmement.
Si le lier est bien fait et mené au bout, c'est à peu près imparable.

Ces actions de lames sont très utilisées pour l'estoc. Les attaques de fer
utilisent surtout le battement de fer, mais libèrent la lame adverse au
moment de porter le coup
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